Depuis 1985, l’ ADUA est activement engagée dans le combat associatif pour la défense des usagers. Elle est une association reconnue, au plus haut niveau des instances de l’Etat, et participe, en répondant toujours présente, à l’Assemblée nationale ou au Sénat par exemple, à de nombreux travaux et commissions dont les ambitions sont de parfaire les institutions de la République afin que les rapports entre les citoyens et l’administration, les services publics et les collectivités, s’exercent dans l’intérêt général et la légalité. Compte tenu des extrêmes dérives du système de la protection de l’enfance, concernant non seulement des centaines de milliers de parents, mais également et surtout d’enfants, maltraités par les services sociaux et la justice, l’ADUA n’a eu d’autre choix, par nécessité éthique, que de s’engager dans ce combat difficile pour transformer en profondeur un système dévoyé de l’intérieur et corrompu par de nombreuses complicités, certains de ses acteurs se parant du label « protecteur de l’enfance » alors qu’ils sont en réalité au service du dit système.
Ce faisant et depuis lors, l’ADUA , ses membres et les associations qui oeuvrent efficacement à ses côtés, dont Violette Justice, subissent d’incessantes pressions de toutes sortes, de la part de gens qui étaient, étrangement, censés combattre à leurs côtés. L’ADUA , en particulier, est vilipendée et attaquée à l’appui de publications publiques ou privées fallacieuses et diffamatoires, à l'encontre de la présidente en exercice, Madame Josette MONDINO. Entre 21012 et aujourd’hui, Madame Josette MONDINO et l'ADUA ont dû faire face à cinq procédures engagées contre elles, qu’elles ont toutes gagnées. Ces procédures, il va sans dire, ont été engagées par des membres du bureau exclus pour des motifs graves dans les conditions fixées par nos statuts. L’intention primordiale était, chaque fois, de s’emparer de la présidence de l’association en évinçant Madame MONDINO.
Face à leurs échecs, les conspirateurs de ces procédures abusives et malveillantes semblent ressentir une profonde amertume, et tentent maintenant d’atteindre la LFFDE dont Madame Josette MONDINO assume également la Présidence.
Lassé de ces attaques diffamatoires et par ce harcèlement, qui ne sauraient être plus longtemps tolérée après cinq procédures gagnées tant par l'ADUA que par Madame Josette MONDINO, et dont la seule intention est de nuire à l’efficacité de nos actions, de nouvelles procédures s'imposent, cette fois à l'encontre des détracteurs tant de l'ADUA que de la LFDDE.
Nous tenions naturellement à vous en informer. Nous restons à votre disposition pour tout renseignement que vous souhaiteriez utile de connaître.
Cordialement à tous,
LE BUREAU